Baromètre France Num 2023 : où en sont les TPE/PME dans leur digitalisation ?

France Num édite chaque année depuis 2020 un baromètre donnant l’état des lieux de la digitalisation des petites entreprises. La version 2023, avec ses 9453 répondants répartis sur tout le territoire national, fourmille d’informations. Les quelques 61 pages du rapport complet et les données disponibles en open data, fournissent de quoi satisfaire la curiosité. Je reviens ci-dessous sur les chiffres qui ont attiré mon attention. Au-delà du baromètre, je propose une démarche pour accompagner les TPE/PME dans leur digitalisation.

On aimerait faire parler ces données, obtenir des explications. Certains chiffres interpellent en effet, notamment lorsqu’ils font apparaître des différences entre les régions. Pour cela des investigations plus approfondies seraient nécessaires. J’y reviendrai.

Note : dans le texte qui suit, je fais référence aux pages du rapport complet.

PS : dirigeants d’entreprises du numérique, au-delà de mes commentaires, je vous indique en prime comment utiliser les données du baromètre pour votre prospection commerciale. Allez, c’est parti !

  1. Les chiffres clés remarquables
    1. L’Ile-de-France n’est pas la France
    2. Le numérique perçu comme positif, mais…
    3. Un sentiment d’être à la page avec le numérique
    4. D’étonnantes particularités régionales 
    5. La visibilité sur Internet passe d’abord par un site
    6. La vente en ligne reste faible
    7. La facturation électronique fera des dégâts
    8. Le cloud oui, l’IA non
    9. Un budget bien trop faible pour le numérique
    10. Sans compétences numériques, point de salut
    11. Un fort besoin d’accompagnement à la digitalisation
    12. Des milliers de diagnostics numériques
    13. La souveraineté numérique, une préoccupation pour les TPE/PME
    14. Seulement 26% d’entreprises matures
    15. Comment utiliser le baromètre France Num pour prospecter
  2. Conclusion et perspectives
  3. Sources

Les chiffres clés remarquables

L’Ile-de-France n’est pas la France

Ce qui m’a frappé de prime abord, c’est que curieusement l’Ile-de-France n’est pas si sur-représentée que je l’imaginais dans le tissu économique des petites entreprises (p. 6). Les auteurs nous rassurent en précisant que « Les résultats sont représentatifs de la population 2023 des TPE/PME françaises, que ce soit en termes de taille d’entreprise, de secteur d’activité ou de région. Les réponses ont été pondérées en pourcentage par rapport à la population de référence des entreprises, décrite par l’INSEE. »

Le numérique perçu comme positif, mais…

76% des dirigeants sondés considèrent que le numérique est positif pour leur entreprise (p.14). Soit cinq points de moins qu’en 2022. Pourquoi cette chute ? Le baromètre ne donne pas de réponse. Il faut creuser un peu plus loin en lisant l’enquête qualitative réalisée auprès de 26 entreprises. On y apprend que « quelques-unes reprochent au numérique de leur faire perdre un temps considérable, de les éloigner de leur métier d’origine, ou de rendre leur entreprise vulnérable. » Tout est dit.

1 dirigeant sur 2 craint le piratage de données, mais seulement 61% s’équipent de solution de cybersécurité (p.14). Quel paradoxe ! D’autant plus que seulement 11% comptent investir dans les deux prochaines années pour sécuriser les données et le site Internet (p.41). C’est à n’y rien comprendre ! Cela montre aussi le besoin d’accompagnement exprimé dans les entretiens qualitatifs, car le numérique peut paraître complexe, et évolue trop rapidement.

Un sentiment d’être à la page avec le numérique

Seulement 18% des dirigeants répondant se considèrent en retard par rapport aux entreprises du même secteur (p.17). En d’autres termes, quand ils se comparent entre eux, les dirigeants ne se trouvent pas si mauvais. Le problème avec le numérique, est que la comparaison traverse les secteurs. J’ai souvenir d’avoir animé un atelier inter-entreprises sur la maturité numérique. Tous les dirigeants participants avaient surévalué la maturité numérique de leur entreprise en entrée d’atelier par rapport à celle calculée en fin d’atelier. C’est donc surtout l’évaluation au regard d’un référentiel trans-sectoriel qui aide à positionner l’entreprise.

Extrait de la page 17 du rapport détaillé montrant la que le sentiment d’être en retard dans son secteur, est assez stable depuis 4 ans.

D’étonnantes particularités régionales 

J’ai été surpris d’apprendre que les entreprises de la région Centre Val-de-Loire sont plus enclines à avoir des clients venant d’Internet (p.18). Comment expliquer cette particularité régionale ? Est-ce lié aux secteurs d’activité des entreprises de cette région (ce qui pourrait s’expliquer par exemple en cas de sur-représentation de l’hôtellerie/restauration dans cette région) ? À une meilleure reconnaissance de l’origine d’un client ? Là encore, une investigation plus profonde serait utile.

La visibilité sur Internet passe d’abord par un site

Sur le plan de la visibilité, 67% des répondants disposent d’un site Internet, principale solution de visibilité (p.19). 84% utilisent au moins une solution de visibilité, mais le rapport n’indique pas la typologie des solutions en question. Il s’agit en fait des réseaux sociaux, du référencement gratuit, et du référencement payant. Il est surprenant de constater que seulement 55% des entreprises bénéficient de référencement gratuit. Pourquoi s’en priver ? DIMM.UP est par exemple référencé gratuitement sur les Pages Jaunes et dispose de sa page Google My Business (tapez « DIMM.UP » dans Google). Très utile pour le référencement local.

52% des répondants ne disposant pas de site Internet, considèrent que ce n’est pas pertinent pour leur métier (p.29). Ils sont même 75% dans le secteur des activités financières ! Ce qui m’intrigue alors, quels atouts attribuent à leur site Internet les dirigeants de ce secteur qui disposent d’un site Internet ? On ne fera pas boire un âne qui n’a pas soif. Mais on peut quand même lui montrer que d’autres ânes s’abreuvent.

Au passage, au-delà de la présence via un site Internet, sa robustesse, sa mise à jour tant technique que dans son contenu, son respect de la réglementation, sont tout aussi importants. Il ne suffit pas d’avoir un site Internet, encore faut-il qu’il soit à jour !

La vente en ligne reste faible

Du côté de la vente en ligne, 27% des entreprises ayant répondu, disposent d’au moins une solution (p.19). Ce qui là encore paraît étonnamment faible compte-tenu de l’offre de solutions disponibles. Surtout en prenant en compte que ces solutions représentent 18% du chiffre d’affaires (p.31).

Lors de la présentation du baromètre aux Activateurs France Num (vous ne savez pas ce que c’est ? Allez donc découvrir la page Activateur de DIMM.UP), le 19 octobre 2023, un zoom a été fait sur ce point. Pourquoi 58% de TPE PME ne vendent pas en ligne et pensent que ce n’est pas pertinent ?

Parce que les TPE PME ne comprennent pas les enjeux du numérique27%
Parce que les TPE PME pensent que leurs clients ne sont pas en ligne22%
Parce que les TPE PME ignorent que tous les secteurs peuvent être disruptés par le numérique17%
Parce que la vente en ligne n’est pas adaptée à leur activité15%
Parce que la question est mal posée10%
Parce que beaucoup de TPE PME ont suffisamment de clients5%
Parce que la vente en ligne ne concerne que le B to C3%
Les dirigeants de TPE/PME expliquent pourquoi ils ne vendent pas en ligne.

On aurait aussi pu proposer aux répondants d’indiquer « Parce que je ne sais pas que je peux vendre en ligne ».

Il y a donc encore énormément de pédagogie à faire pour embarquer les TPE/PME vers le numérique et plus précisément vers la vente en ligne.

La facturation électronique fera des dégâts

69% des répondants disposent d’un logiciel de facturation (p.20) : bon courage aux 31% restant pour le passage à la facture électronique !

64% des répondants dans des entreprises de 0 salariés, et 70% dans celles de 1 à 4 salariés, ont un logiciel comptable (p.22). Mais comment font les autres ?! Dès la création de DIMM.UP, j’ai utilisé un logiciel de comptabilité. J’y stocke les pièces comptables partagées avec mon expert-comptable. J’y produits mes factures. Les transactions bancaires sont automatiquement synchronisées. C’est tellement pratique !

39% des entreprises ayant répondu ont émis plus de 50% de leurs factures au format numérique (p.36), ce qui est dramatiquement bas, dans la perspective de la généralisation de la facture électronique. Les petites entreprises ne sont pas prêtes à la facture électronique, à l’évidence.

Le cloud oui, l’IA non

44% des entreprises ont une solution cloud, mais le rapport ne précise pas ce que cela recouvre (p.39). Une messagerie dans le cloud entre-elle dans cette définition ?

L’intelligence artificielle, qui a pourtant fait tant de bruit en 2023, fait une timide apparition au sein des TPE/PME, 5% des répondants possédant une solution de ce type (p.39). On pourrait pourtant avoir l’impression que tout le monde s’y est mis, ce qui est loin d’être le cas !

Un budget bien trop faible pour le numérique

Le niveau de budget consacré au numérique paraît étonnamment faible. En effet, seulement 40% des entreprises qui ont répondu ont consacré plus de 1000 euros au numérique en 2022 (p.42). Mais que fait-on avec 1000 euros ? Et surtout, quelle part des investissements cela représente-t-il, indicateur bien plus intéressant à appréhender, comme on le fait lors d’un diagnostic digital sur dimmup.com.

L’investissement et les coûts de fonctionnement du numérique, sont porteurs de valeur pour l’entreprise. À condition bien-sûr de savoir sur quoi investir et quoi financer. Les dirigeants d’entreprises disposent d’un guide gratuit pour les aider dans leur réflexion. Ce guide établit le lien entre la digitalisation et la performance financière.

Sans compétences numériques, point de salut

Autre étrangeté, 31% des entreprises qui ont répondu ne pas avoir de compétences dans le numérique, n’ont pas de projet pour en acquérir (p.45). Nous sommes dans un monde devenu numérique. Refuser d’acquérir des compétences en numérique est comme refuser d’apprendre à lire, écrire ou compter. Cela ne peut que fragiliser l’entreprise.

Un fort besoin d’accompagnement à la digitalisation

Pour se faire aider dans leur transformation numérique, 10% des entreprises ayant répondu pensent que leur expert-comptable est mieux à même de les accompagner (p.46). Est-ce vraiment sérieux ? Un expert-comptable digitalisé est déjà un formidable atout (le mien est parfait pour les petites entreprises, contactez-moi si vous voulez en savoir plus). Mais ce n’est pas son métier que d’aider une entreprise à définir sa stratégie digitale, former ses collaborateurs, déployer des solutions d’acquisition et de fidélisation client, etc.

Les répondants à l’enquête qualitative ont d’ailleurs spontanément abordé ce besoin d’accompagnement. J’invite les dirigeants de TPE/PME à commencer par prendre du recul, pour identifier sur quoi ils ont besoin d’un accompagnement. Un diagnostic digital à 360 degrés les aidera. Ceux qui craignent que ça coûte cher peuvent le faire gratuitement sur dimmup.com avec l’abonnement Découverte. Ceux qui préfèrent se faire aider peuvent demander un diagnostic digital en trois rendez-vous.

Des milliers de diagnostics numériques

Quant aux actions menées par France Num, un chiffre a particulièrement attiré mon attention : 3% des entreprises qui ont répondu disent connaître l’offre de diagnostic numérique gratuit proposé par les CCI et les CMA (p.47). Pourtant, en 2022, 8038 entreprises ont bénéficié de ce type de diagnostic, valorisé 300 euros chacun, soit 2,4 millions sur les fonds France 2030, si mes calculs et mes informations sont exacts. Depuis 2020, elles sont 44891 à avoir bénéficié de ce type de diagnostic « gratuit ». Avec quel bénéfice ? Nul ne sait. J’invite d’ailleurs les entreprises qui ont sollicité cette prestation à faire leur auto-diagnostic sur dimmup.com. Elles auront de quoi orienter leurs actions de développement numérique.

La souveraineté numérique, une préoccupation pour les TPE/PME

Le sujet de la souveraineté numérique me surprend aussi. On peut se satisfaire que 81% des répondants privilégient les acteurs de services locaux ou français, et que 65% privilégient les éditeurs de logiciels locaux ou français (p.51). Une étude plus approfondie serait utile pour confronter ces chiffres à la réalité, en tenant compte des volumes de dépenses et en observant la part engagée vers les acteurs nationaux. Néanmoins c’est plutôt une bonne nouvelle pour les acteurs français qui ont donc intérêt à mettre en avant leur nationalité dans leurs offres.

Seulement 26% d’entreprises matures

L’annexe du rapport détaillé fournit un schéma très intéressant sur la typologie des petites entreprises (p.58). Pour les offreurs de services et éditeurs de solutions, inutile de perdre son temps avec les entreprises réticentes. Par ailleurs, il faut s’attendre à un niveau d’exigence plus élevé avec les entreprises matures. En termes de marché, le principal gisement de clients est sans doute à trouver dans les entreprises dynamiques. Quant aux entreprises en potentiel, autant attendre qu’elles se manifestent, en adoptant une approche d’inbound marketing pour les attirer. Le rapport donne les caractéristiques de chaque type d’entreprises.

Voir le schéma détaillé page 58 du rapport avec les caractéristiques de chaque type d’entreprises ainsi que la variation par rapport à 2022.

Dans un grand pays comme la France, on ne peut pas se satisfaire de constater que seulement 26% des petites entreprises sont matures avec le numérique. Et encore, la notion de maturité est ici limitée à un niveau d’équipement numérique et aux projets de numérisation. La maturité numérique couvre d’autres aspects tels que la stratégie digitale, l’organisation qui la supporte, l’appréhension du numérique par les collaborateurs, la capacité à innover, mettre sur le marché et vendre avec le numérique, et enfin la prise en compte de l’environnement juridique, fiscal, réglementaire ou encore économique. C’est ce que l’on mesure au travers d’un diagnostic digital sur dimmup.com.

Comment utiliser le baromètre France Num pour prospecter

France Num met à disposition les données du baromètre en open data. On peut donc naviguer dans les résultats en mode data visualisation, en appliquant des filtres par région, par secteur et par taille d’entreprise. En revanche pas de classement, et encore moins de listes. Par exemple, sauf erreur de ma part, impossible de trier les secteurs selon le bénéfice perçu du numérique par le dirigeant. Il faut comparer secteur par secteur pour le déduire, ce qui est assez fastidieux.

On voit par exemple que sur la question « Dans l’ensemble, je trouve que le numérique aujourd’hui représente un bénéfice réel pour mon entreprise », les réponses moyennes (76,4%) sont très différentes du secteur de l’agriculture (62,3%), et du secteur des NTIC (94,8%).

Comparez la perception du numérique par les secteurs de l’agriculture et des NTIC.

À partir d’un export des données brutes, on peut aller plus loin. Imaginons que vous vouliez démarcher en priorité les départements et les secteurs dont les dirigeants ont une perception favorable du numérique. Ce qui vous intéresse, ce sont les meilleures réponses à la question « Dans l’ensemble, je trouve que le numérique aujourd’hui représente un bénéfice réel pour mon entreprise », c’est-à-dire ceux qui ont répondu « Tout à fait d’accord ». Il vous faut d’abord trouver le code unifié de la question posée aux répondants. Le référentiel des questions, filtré sur le chapitre Perception du numérique montre que la question qui vous intéresse porte le code unifié 201.

Capture d’écran des données fournies en open data.

Ensuite vous allez filtrer les résultats sur le code unifié 201. Vous pourrez alors exporter les données des 9500 enregistrements sélectionnés, au format Excel (CSV et JSON sont aussi fournis). Un tableau croisé dynamique filtré sur la réponse « Tout à fait d’accord » et trié par nombre de réponses, vous indique les départements où vous aurez le plus de chances de rencontrer des dirigeants qui pensent que le numérique représente un bénéfice réel pour leur entreprise. Voici les dix départements à démarcher en priorité (idéalement il faudrait pondérer par nombre total de réponses, mais vous avez compris le principe) :

DépartementNombre de réponses
Paris246
Bouches-du-Rhône130
Rhône127
Nord124
Haute-Garonne112
Gironde104
Loire-Atlantique102
Hauts-de-Seine97
Bas-Rhin92
Ille-et-Vilaine86
Les dix départements où se trouvent les entreprises les plus positives au regard du numérique.

À présent, en faisant le même exercice, mais cette fois-ci en créant le tableau croisé dynamique à partir de la colonne secteur_unifies, vous pouvez affiner votre ciblage en visant en priorité les secteurs les plus favorables :

SecteurNombre de réponses
Industrie673
Nouvelles technologies – Information – Communication586
Services spécialisés – Techniques518
Commerce (détail et gros)425
Z – Autre367
Services à la personne (p. ex. soins, santé, éducation)303
Hébergement – Restauration291
Activités financières – Assurances276
Bâtiment – Construction246
Transport – Logistique215
Agriculture166
Classement des secteurs selon leur degré de positivité sur le numérique.

Vous voilà maintenant prêt à démarcher en priorité les entreprises industrielles de Paris !

Conclusion et perspectives

En conclusion, cette étude a le mérite de donner une vue d’ensemble sur la perception du numérique par les petites entreprises (moins de 250 salariés). Pour les offreurs de services et les éditeurs de solutions, il donne une première ébauche d’analyse de marché pour prioriser ses actions commerciales. Pour les répondants, il n’apporte aucun bénéfice. Pour cela je les invite d’ailleurs à faire leur diagnostic sur dimmup.com ou à demander notre aide. On aimerait aussi connaître plus finement les forces et faiblesses numériques des TPE/PME, pour mieux orienter les actions d’accompagnement et d’orientation vers les acteurs locaux spécialisés.

Les entreprises ayant répondu à l’enquête qualitative ont spontanément exprimé un besoin d’accompagnement. La première action à faire, est de poser le diagnostic, pour avoir une vision complète de l’état des lieux. C’est vrai dans l’énergétique, dans le bâtiment, comme dans n’importe quel secteur. C’est aussi vrai dans le numérique. Sinon le dirigeant risque un biais de raisonnement, en se focalisant sur ce qu’il connait du numérique, ou ce qu’il pense urgent de traiter, sans prendre en considérant d’autres aspects pourtant importants.

Sources

Baromètre : https://www.francenum.gouv.fr/barometre-france-num

Infographies du baromètre France Num 2023 : https://www.francenum.gouv.fr/guides-et-conseils/strategie-numerique/comprendre-le-numerique/barometre-france-num-2023-ou-en-sont

Données brutes : https://data.economie.gouv.fr/explore/dataset/bfn-2023-resultats-2023/table/

Enquête qualitative auprès de 26 entreprises : https://www.francenum.gouv.fr/guides-et-conseils/strategie-numerique/comprendre-le-numerique/barometre-france-num-2023-26

Activateurs : https://data.economie.gouv.fr/explore/dataset/activateurs-france-num/table/

TPE/PME bénéficiaires : https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/tpe-pme-beneficiaires-des-dispositifs-france-num/

Offre de diagnostic digital pour les TPE : https://link.dimmup.com/ddtpes

2 commentaires sur « Baromètre France Num 2023 : où en sont les TPE/PME dans leur digitalisation ? »

Laisser un commentaire