Dans l’imagerie populaire, le marathon est un effort solitaire et hors norme. Le coureur, confronté d’abord à lui-même est, sauf pour l’élite, noyé dans la foule. Les kilomètres défilent, sous les acclamations d’un public qui ne le voit passer devant lui que quelques secondes. Au bout des mythiques 42,195km, les sensations de joie, de fiertéLire la suite « La solitude du coureur de fond existe-t-elle encore ? »